« Je coure après l’argent »

Aujourd’hui, j’aimerais vous partager mon implication auprès de l’organisation Le Noël du Pauvre qui en est à sa 65^e édition.Depuis 30 ans des amateurs de course à pied mettent leur passion à profit pendant le téléthon Le Noël du pauvre. Les coureurs du téléthon, comme on les appelle, ont remis à l’organisation plus de 400 000 $ jusqu’à maintenant. L’étincelle qui a déclenché l’élan de générosité n’a jamais fait faux bond depuis les trente dernières années.

Ben, ça a commencé en fait, en 1993. On écoutait le téléthon, j’étais avec le conjoint de Nancy Sabourin [Jean-Yves Déziel]. On se disait : « Faudrait faire quelque chose de significatif […] un défi sportif afin d’amasser des fonds, pour pouvoir remettre ça aux gens démunis durant la période des Fêtes », se remémore Yves Loranger, un des instigateurs du marathon du Noël du pauvre.

« Moi, je cours après l’argent »
Au fil des trente années, Yves Loranger et les autres coureurs sont passés à travers toutes les conditions météorologiques inimaginables : la pluie, la neige, les tempêtes, rien ne les arrête.
Les coureurs ont emprunté un sentier qu’ils connaissent bien : celui du défi perpétuel. Chaque année, ils ont pour ambition d’en amasser plus, d’en faire plus pour en redonner davantage. Moi, je cours après l’argent, dit en riant Yves Loranger.

Passez de belles Fêtes

Yves